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Présenté par Robert Jobard/Initiateur de l'Hypothèse
Mesdames, Messieurs,
Le rejet de l'éther par la Relativité Restreinte, suite à l'expérience de Michelson et Morley, est un pilier de la physique moderne. Cependant, je postule que cet abandon fut causé par une hypothèse initiale erronée sur l'immobilité de ce milieu. Je propose ici un modèle d'éther physique qui réconcilie l'histoire, la mécanique quantique et les lois d'Einstein.
L'échec de la détection du vent d'éther ne signifie pas l'absence d'un support, mais l'absence de mouvement relatif entre ce support et la Terre. Nous devons intégrer la gravité dans la dynamique de l'éther :
L'éther est composé d'unités de masse très faible et est soumis aux lois de la gravité, au même titre que tout corps doté d'une masse.
Tous les corps, y compris l'éther, sont en chute libre (gravitationnelle) avec la Terre dans son référentiel local.
L'éther est « localement au repos » par rapport à l'instrument de mesure. Il n'y a **aucun vent d'éther** à détecter. Ce support s'identifie à l'espace-temps de la Relativité Générale doté de propriétés quantiques.
Je propose que ce milieu d'éther soit constitué de corpuscules élémentaires, un retour aux idées de Newton, mais régies par E=mc² et la quantification de l'énergie (h).
Chaque unité de ce milieu est définie par une masse inertielle équivalente m, sans avoir de masse au repos :
En utilisant le quantum d'action de Planck h dans les unités appropriées, cette masse serait de l'ordre de 10^{-50} text{ kg}$, la rendant **totalement indétectable** et compatible avec les contraintes observationnelles.
L'énergie d'une onde électromagnétique E = hf est interprétée comme la somme des énergies transmises par ces corpuscules d'éther :
L'onde n'est qu'une **vibration stationnaire** (transmission d'énergie de proche en proche), où la **fréquence** f dicte la quantité de corpuscules d'éther qui sont synchronisés dans le processus vibratoire.
Ce modèle unifié démontre qu'un **support physique** pour la lumière est compatible avec la physique du XXe siècle, à condition qu'il soit lié dynamiquement au champ gravitationnel.
Je vous remercie de votre attention et suis prêt à discuter des implications de cette synthèse.