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La relativité

Les zones d'ombre à éclairer.
Il semble que beaucoup de choses ont été oubliées

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“De l’électrodynamique des corps en mouvement.” Albert Einstein 1905

Il semblerait que certaines personnes n'aient pas compris l'usage que fait Einstein du principe de relativité du mouvement inertiel de Galilée dans sont article de 1905.
Ce principe explique qu'un observateur dans un tel mouvement se croit immobile. Cette croyance est liée au fait qu'il n'observe aucun changement dans son référentiel quelque soit sa vitesse.
Il ne prend conscient de la vitesse de son référentiel qu'en regardant un autre référentiel avec un mouvement différent. Alors il peut mesurer la vitesse de ce référentiel par rapport à lui sans savoir si c'est le référentiel observé qui est en mouvement ou lui qui se déplace en sens inverse ou encore les deux dont il ne mesure que l'écart de vitesse entre eux.

La meilleur preuve est la démonstration faite par Aristote de l'immobilité de la Terre. Aristote a été piégé par le principe de relativité du mouvement. Lorentz a été également piégé.

Dans ce qui suit vous allez noter qu'Einstein alerte sur le fait que les contractions observées des corps en mouvement sont fausses, elles résultent de mesures désynchronisées. La relativité de Galilée nous dit que dans un référentiel en mouvement, localement rien ne change. Il en résulte que les changements observés depuis un autre référentiel sont une illusion.

J'Insiste trop, je ne suis pas physicien et j'explique du mieux possible avec un langage ordinaire. Quel sera le physicien qui aura le courage d'approuver ma démarche ?


Extrait : § 2. Sur la relativité des longueurs et des temps. Les passages importants sont en italiques


[...]
1. Les lois selon lesquelles l'état des systèmes physiques se transforme sont indépendantes de la façon que ces changements sont rapportés dans deux systèmes de coordonnées

2. Chaque rayon lumineux se déplace dans un système de coordonnées « stationnaire » à la même vitesse V, la vitesse étant indépendante de la condition que ce rayon lumineux soit émis par un corps au repos ou en mouvement. [..]
    a) L'observateur pourvu de la règle à mesurer se déplace avec la tige à mesurer et mesure sa longueur en superposant la règle sur la tige, comme si l'observateur, la règle à mesurer et la tige sont au repos.

    b) L'observateur détermine à quels points du système stationnaire se trouvent les extrémités de la tige à mesurer au temps t, se servant des horloges placées dans le système stationnaire (les horloges étant synchronisées comme décrit au § 1). La distance entre ces deux points, mesurée par la même règle à mesurer quand elle était au repos, est aussi une longueur, que nous appelons la « longueur de la tige ».

Selon le principe de relativité, la longueur trouvée par l'opération a), que nous appelons la « longueur de la tige dans le système en mouvement », est égale à la longueur l de la tige dans le système stationnaire.
La longueur trouvée par l'opération b) peut être appelée la « longueur de la tige (en mouvement) dans le système stationnaire ». Cette longueur est à calculer en s'appuyant sur nos deux principes, et nous découvrirons qu'elle diffère de l.

Dans la cinématique généralement utilisée, il est implicitement supposé que les longueurs définies par ces deux opérations sont égales ou, dit autrement, qu'à un moment donné t, une tige rigide en mouvement est géométriquement remplaçable par un même corps, quand il est au repos à un endroit précis.

Supposons de plus que deux horloges synchronisées avec des horloges dans le système stationnaire sont fixées aux extrémités A et B d'une tige, c'est-à-dire que les temps des horloges correspondent aux « temps du système stationnaire » aux points où elles arrivent ; ces horloges sont donc « synchronisées dans le système stationnaire ».

Imaginons encore qu'il y a deux observateurs auprès des deux horloges qui se déplacent avec elles, et que ces observateurs appliquent le critère de synchronisme du § 1 aux deux horloges. Au temps 2 tA, un rayon lumineux va de A, est réfléchi par B au temps tB et arrive à A au temps t'A. Prenant en compte le principe de la constance de la vitesse de la lumière, nous avons
où rAB est la longueur de la tige en mouvement, mesurée dans le système stationnaire. En conséquence, les observateurs qui se déplacent avec la tige en mouvement n'affirmeront pas que les horloges sont synchronisées, même si les observateurs dans le système stationnaire témoigneront que les horloges sont synchronisées. Nous en concluons que nous ne pouvons pas attacher une signification absolue au concept de simultanéité. Dès lors, deux évènements qui sont simultanés lorsque observés d'un système ne seront pas simultanés lorsque observés d'un système en mouvement relativement au premier.

Conclusion de cet extrait à partir des hrases mises en italique ci-dessus :

Nous déduisons de ce qui précède que la relativité du mouvement inertiel de Galilée qui dit qu'il est impossible de savoir dans un tel mouvement à quelle vitesse on se déplace, fait que la vitesse ne modifie rien d'observable dans ce référentiel. Il faut en observer un autre qui est vu en mouvement alors qu'il est tout a fait possible que ce soit lui qui soit immobile ou a n'importe quel vitesse et que nous observons uniquement l'écart de vitesse.
Les transformations de Lorentz résultent de la désynchronisation des mesures nous dit Einstein.

 

Albert Einstein
                  .

Isaac Newton


Galilée

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